6/ Je suis rigide… mais j’ai compris que la souplesse, c’est aussi de la force.
- Gyl Falco
- 23 mai
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 2 juin
Transformation 6

Je pensais que fléchir, c’était faiblir.
Que céder, c’était perdre.
Que changer d’avis, c’était renoncer à ma cohérence.
Alors je tenais bon. Je résistais. Je m’obstinais… même quand ça ne me servait plus.
Mais à force d’être raide, je me cassais.
À force de m’agripper à mes certitudes, je perdais le mouvement.
Et j’ai compris que la vraie solidité n’est pas rigide.
Elle est souple, elle s’adapte, elle plie sans rompre.
Aujourd’hui, je redécouvre la force de l’eau. Celle qui contourne sans fuir.
Celle qui traverse sans heurter.
Je m’ouvre à une autre forme de puissance : celle qui sait quand s’incliner, sans se trahir.
Être souple, ce n’est pas céder à tout.
C’est rester en lien avec la vie qui bouge.
➡️ Et toi, que se passe-t-il quand tu acceptes de fléchir un peu ?
Est-ce que tu t’autorises à changer sans te perdre ?
Dis-moi ce que la souplesse t’a appris sur toi-même.
Envoie ce post à quelqu’un qui croit encore qu’il faut être dur pour tenir.
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