2/ Je suis dépendant(e) affectif(ve)… mais j’ai appris à rester quand l’autre s’éloigne.
- Gyl Falco
- 16 mai
- 1 min de lecture
Transformation 2

Avant, un silence me faisait paniquer.
Un message non lu, une absence de réponse, un regard détourné…
Et j’entrais en état d’alerte.
Je pensais que le lien était rompu. Que j’avais fait quelque chose de mal.Je me sentais rejeté(e), oublié(e), abandonné(e).
Alors je comblai le vide comme je pouvais : mots inutiles, gestes pressés, présence envahissante.
Tout plutôt que de rester seul(e) avec le silence de l’autre.
Mais un jour, j’ai compris :
👉 Ce vide n’était pas celui de l’autre, c’était le mien.
👉 Ce silence réveillait une peur plus ancienne : celle d’être laissé(e), encore une fois.
Alors j’ai décidé d’apprendre à rester.
Rester dans ce silence sans vouloir le fuir.
Rester dans cet espace inconfortable où il n’y a rien… sauf moi.
J’ai appris à respirer dans l’absence.
À m’écouter quand l’autre ne répond pas.
Et peu à peu, j’ai découvert que je pouvais me tenir compagnie.
Aujourd’hui, je n’ai plus besoin de combler à tout prix.
Je n’ai plus peur de l’éloignement de l’autre, parce que je ne m’abandonne plus.
💬 Et toi, que t’enseignent les silences ?
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