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5/ Je suis contrôlant(e)… mais je ne veux plus forcer l’amour

Transformation 5


J’ai longtemps cru qu’aimer, c’était faire au maximum.

Être présent(e).

Prévenant(e).

Irréprochable.

Anticiper les besoins, combler les manques, rassurer l’autre même quand moi, je doutais.


J’avais besoin de me sentir indispensable.

Comme si ma valeur dépendait de ce que je faisais pour l’autre.


Mais derrière tous ces gestes “d’amour”, il y avait une tension.

Un besoin d’être reconnu(e).

Une peur panique d’être mis(e) de côté.


Alors je m’investissais. Beaucoup. Trop parfois.

Je voulais garder le lien.

À tout prix.

Même si l’autre ne demandait rien.

Même s’il ou elle avait besoin d’espace.

Je resserrais la prise.


Et je ne comprenais pas pourquoi ça finissait toujours par s’éloigner.


Aujourd’hui, je comprends.

Je ne donnais pas pour aimer.

Je donnais pour être sûr(e) d’être aimé(e) en retour.

Et ça, ce n’est pas de l’amour. C’est une négociation déguisée.


L’amour, le vrai, ne se contrôle pas.

Il se propose. Il se reçoit. Il circule.

Il ne force pas. Il n’achète pas. Il ne manipule pas.


Alors j’apprends.

À écouter sans intervenir.

À aimer sans m’imposer.

À offrir sans attendre.


J’apprends à faire confiance à l’espace.

À ne pas remplir tous les vides.

À ne pas penser que l’amour se prouve.

Parfois, il se respire.

Et ça change tout.


Aimer, ce n’est pas garder.

C’est laisser l’autre libre de rester.


Et toi, quand tu aimes… est-ce que tu laisses de la place à l’autre ?

Ou est-ce que tu as parfois besoin de contrôler pour ne pas te sentir oublié(e) ?


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Crédit photos : Canva et unsplash.com.

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