4/ Je suis rigide… mais je m’autorise à ressentir même quand ça me déborde.
- Gyl Falco
- 25 mai
- 1 min de lecture
Transformation 4

J’ai longtemps cru que rester fort(e), c’était ne pas pleurer.
Que maîtriser ses émotions, c’était être adulte, être stable.
Alors j’ai appris à contenir, à bloquer, à détourner.
À sourire quand j’avais envie de crier.
À rationaliser quand j’avais juste besoin de pleurer.
Mais à force de retenir, j’étouffais.
Ce que je refusais de ressentir se logeait dans mon corps.
Sous forme de tensions, de fatigue, d’angoisse.
Et un jour, j’ai compris : ce n’est pas l’émotion qui fait mal, c’est la résistance à l’émotion.
Alors j’ai commencé à m’autoriser. À ressentir. Vraiment.
À pleurer sans m’excuser. À trembler sans me juger.
À reconnaître que mon humanité, elle est là aussi. Dans ce qui déborde.
Ressentir, ce n’est pas être faible.
C’est être vivant(e).
➡️ Et toi, quelles émotions retiens-tu encore ?
T’autorises-tu à ressentir sans honte ?
Viens partager ce que tu ressens quand tu t’abandonnes à ton vécu émotionnel.
Partage ce post à quelqu’un qui a besoin d’un rappel : c’est OK de sentir.
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